Appel à textes Sampoésie du 12.05.2018 : à vos plumes !

  • Le Ven 11 mai 2018
  • 2 commentaires

Que vous inspire cette photo ? A vos poèmes #Sampoésie. #terre #jardin #espace #collage #lune #écrire #poésie.

Crédit photo : Pixabay

 

 

Le défi de la semaine est publié. Un jardin de lune, un monde futur, un avenir lointain ? Que vous inspire cette photo ? Vos textes sont attendus jusqu’au vendredi 18.05.2018 à minuit. Belle inspiration à tous !

Note : Le défi d’écriture #Sampoésie, c’est aussi le tableau Pinterest : chaque semaine, l’image en épingle et toutes les archives des photos utilisées comme inspiration. À vos plumes.  

 

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  • Le tag Sampoésie sur ce blog vous explique l’ensemble du projet.

 

 


 

 


 

 

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Commentaires

  • vanessa
    • 1. vanessa Le Mer 16 mai 2018
    Bonjour,

    Merci pour ce blog consacré à la poésie que je viens tout juste de découvrir. Veuillez-trouver ma contribution.
    Et au plaisir de vous lire !

    Cut up, le monde avance
    Et mon âme en errance.
    Les monts qu'Ulysse traversa
    Ne sont pour moi
    Qu'envolées lyriques et tralala...

    J'aime l'odeur de l'herbe fraîche,
    Les remous violents du matin,
    Et préfère l'aurore,
    Blancheur alpine de l'écume.

    En vain, je scie et troue
    Planche amère de l'ennui,
    Puis de l'incidence profonde
    Et sans fard, jaillit et luit
    L'inspiration soudaine.

    Mon coeur balance nuit et jour
    Entre noir et blanc, argent et noir.
    De ce roulis lourd, obsédant et entêtant
    Rejoindre le vent évidemment !

    Mon rêve échu, débarque le temps
    Patiemment, puis d'un jeu de boule,
    Au mouvement lent et cadencé,
    Vient frapper le coup vigoureux,
    Sans tête et sans âme le mouvement cadencé.

    Tout se mêle, tout se dévore
    Et dans mon délire certain
    Se fond le blanc de la raison.
    Ne m'écoute pas Dieu de miséricorde
    Ta terre, celle que tu as foulée
    Ne vaut désormais rien.
    D'une monnaie sans écu
    Se retourne comme un gant
    Le jeu éternel du pile et face.

    Et parmi les ravages de l'instant,
    Je naîtrais là dénudée, pionnière et altière.
    Et sortie des vagues comme Vénus,
    Milo en serait bouche bée et en perdrait la plume,
    Identique à celle de mes funérailles

    J'aime avant tout le soleil du matin,
    Mais au brouillard brumeux
    Préfère la nuit noire et profonde.
    Et voir dans le dénuement le plus cru,
    Scintiller le croquis du démiurge
    Puis s'envoler tel un lâcher d'hirondelles
    Les hivers ternes et tristes,
    Que les glaces et tout le reste
    Patiemment auront laisser filer.
    • Sandra Dulier
      • Sandra DulierLe Jeu 17 mai 2018
      Bonjour Vanessa. Soyez la bienvenue sur ce blog. Merci pour votre jolie plume. En vous souhaitant un peu à l'avance un très agréable week-end.

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